Moui, je vois pas trop ce que ça change à la conversation sachant qu’on est nous même dé-fédéré de exploding-heads justement parce qu’ils sont nazis.
Goat n’a pas particulièrement pesé sur la décision d’ouvrir un vote, il est même arrivé bien après que la décision soit prise.
Puis je vais me répéter, j’ai pas particulièrement envie de dé-fédérer, cf mes réponses dans le thread initiant la tempête de caca, même si j’ai une haine profonde non dissimulée pour les tankies.
De mon point de vue c’est des gens un peu cons qui ont suivi le même pipeline de radicalisation qu’il y’avait y’a 10 ans sur 4chan, sauf qu’être un nazi est aujourd’hui mainstream.
Le pipeline d’edgy contrarien c’est donc l’inverse, celui des tankies qui viennent lécher les bottes d’un autoritaire et commettre des génocides, mais cette fois-ci, avec un drapeau rouge. Même attrait pour l’homme fort providentiel, l’élimination d’opposants à la définition aussi floue que variable, aux réponses simples à des problèmes complexes, et un goût prononcé pour les bottes en cuir.
Ils seraient nés 10 ans plus tôt, ils seraient MAGA tier à se branler sur du Camus (Renaud) tout en niant l’existence de la shoah à l’aide de blogs de schizophrènes marginaux.
Alors, pour les mentions légales en effet, mais étant donné que jlai.lu est hébergé en mon nom propre et qu’il n’a pas vocation commerciale, seule les informations sur l’hébergeur sont obligatoires.
N’importe quel ayant droit ou avocat devra passer par l’hébergeur pour qu’il lui communique mes données de contact, et je devrais ensuite recevoir ce courrier chez moi.
Alors ça c’est la théorie mais à moins que ça ait bougé, la structure de l’html était fait n’importe comment du coup le moindre changement du bootstrap cassait plus ou moins totalement l’affichage, d’où mon thème custom.
J’ai remis le thème par défaut en option de base.
C’est vrai que je l’avais customisé et j’ai pas forcément mis à jour avec les évolution du client. J’espère que ça sera moins pire 
Et c’est même pas moi qui ai posté.
On rappelle surtout que c’est uniquement vrai dans le modèle d’une entreprise capitaliste motivée par la recherche de profit.
Dans n’importe quel autre modèle, associatif, bénévole, ou autre, ce n’est pas le cas.
Ouais, c’est kbin qui merde et qui DDoS le fediverse semble t-il.
Il est possible que je doive dé-fédérer si ça ne s’arrête pas avant que ça impacte l’instance.
Not sure why you’d do that instead of running a docker of something not proprietary like NextCloud, especially since you can run dockers through DSM directly.
The UI being one of the worst does not help.
Normalement c’est corrigé dans la 19.3, c’est pour ça que j’ai décalé d’une semaine.
De manière générale, en tant qu’admin de l’instance, je dois respecter les demandes de suppression de contenus illégaux de la part des ayants droits ou des autorités. Lemmy ne proposant pas d’autre moyen de détecter ceux-ci, c’est un peu tout ce que je peux faire.
Alors lemmy est tellement mal foutu que si t’as pas tout créé sur le sous-domaine en question, ça pète des liens en durs un peu partout.
Au départ j’avais tenté juste un www.jlai.lu et ça a pété la moitié des features. Je pense que ça fera malheureusement la même chose avec un autre sous domaine.
Niveau SEO en plus on a 0 contrôle sur le client, et rien a été pensé pour, ce qui n’aide pas.
Comment ça on est pas à 100%, c’est scandaleux, c’est de la diffamation ça monsieur.
J’en ai fait oui, et la réponse est oui.
J’ai pas trouvé que ça prenait particulièrement beaucoup de temps, et ça prend que la casserole où faire cuire les patates, le reste se faisant sur le plan de travail.
Clairement je le ferais pas pour une portion, mais j’en fait plusieurs kilo à chaque fois.
Ce que je fais c’est que je fais une première levée de ma pâte, je coupe en pâtons et congèle les pâtons individuellement.
Quand je veux du pain, j’essaie de faire dégeler au frigo la veille pour que ça fasse une seconde levée avant d’enfourner le lendemain, je me souviens plus si j’ai tenté de mettre directement congelé au four.
Non, le traitement c’est le ban.
La misogynie, comme toute autre discrimination, n’a pas sa place ici.