• Skunk@jlai.lu
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      3 months ago

      À la politique française et montpelliéraine*

      J’habite en Suisse donc mon énarque relou ne s’appelle pas Jean Édouard mais Hanz (mais comme pour vous il ne parle pas la même langue que moi…)

        • Skunk@jlai.lu
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          3 months ago

          Non aucun car la politique est rarement une carrière ici. Les politiciens ont un métier en dehors de la fonction publique, ils mettent juste leur vie en pause le temps de leurs mandats (et sont payés pour au passage).

          Bon après ils viennent souvent de métiers prestigieux type avocat ou chef d’entreprise et c’est rarement le boulanger du coin qui termine au conseil fédéral.

          • Scaphandriton@framapiaf.org
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            3 months ago

            @Skunk
            Je ne savais pas du tout, merci pour ton explication !
            Est-ce que tu dirais que ça se traduit par des différences dans la façon d’exercer le pouvoir ?

            • Skunk@jlai.lu
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              3 months ago

              Ah oui totalement mais c’est aussi en partie grâce au système dans son ensemble.

              Il n’y a pas de président mais sept conseillers fédéraux qui deviennent présidents à tour de rôle durant un an. Premier changement, ils sont peu connus donc tu peux potentiellement croiser ton président qui attend son train au calme

              Ou en train de bosser son discours assis sur le trottoir oklm https://www.swissinfo.ch/fre/un-président-de-la-confédération-croqué-dans-les-coulisses/44722434

              Ils sont issus de partis politiques différents et donc les façon de gouverner en Suisse se résume en deux mots : Dialogue et compromis.

              Ensuite il y a la démocratie directe donc si un politique fait de la merde il se mange un stop sous forme de referendum d’initiative populaire.

              C’est un peu expliqué avec humour dans cette vidéo de ta télévision suisse romande https://youtu.be/qPoXbEOzcwc?si=g7H_OtRCwIPyRRAx