Au dernier moment, en panique et en même temps saoulé par cette tradition de pousser à la consommation

Je n’offre rien aux adultes à Noël, je leur offre des trucs quand l’envie me vient en leur souhaitant évidemment noyeux Joël (pourquoi attendre pour donner ses pastels Rembrandt à Josette alors qu’elle pourrait s’en servir dès juillet ?).
Pour les enfants, je commence les emplettes vers septembre. Plus tôt que ça, c’est prendre le risque que leurs goûts aient changé.

J’ai décrété que le budget cadeau pour la famille éloignée serait entièrement redirigé vers des dons à des associations caritatives, à chaque fois on ne trouve rien de convaincant et ils ont déjà des cadeaux. Pour les enfants j’achèterai des biscuits et des chocolats de qualité correcte. Pour les proches j’achète souvent des trucs simples comme du miel, des thés avec des goûts inhabituels, etc. Quasiment que du consommable en fait.

Et je prévois très longtemps en avance, selon les dates de péremption, pour le miel ça n’est pas une préoccupation, pour le thé pas trop non plus, donc il reste que les biscuits et chocolats, je n’achète pas les coffrets cadeau c’est l’arnaque, c’est plus rentable de monter en gamme et d’acheter les emballages normaux.

Ma femme commence à cette période mais cette année c’est panne sèche d’idées et je ne lui suis pas d’une grande aide parce que Noël ça me brise les reins

On a commencé pour notre enfant.