J’ai des imprévus personnels et familiaux qui n’aident pas, je ne jette pas l’éponge, de toute façon ce n’est pas une fortune à l’année. Tant que je valide au moins quelques crédits et que je ne suis pas totalement largué je suis content, je n’ai pas d’impératif sur le temps que les études me prendront au total.
le travail est moins important que les études. Tu peux tjrs retrouver un taff alimentaire, pas contre reprendre les études c’est plus compliqué,
le monde est injuste, t’auras des camarades de promo qui s’en sortiront beaucoup plus facilement mais tu dois rien à personne et personne ne te doit rien,
l’élément plus haut implique bizarrement une forte notion d’entraide, n’hésite pas à aider des collègues de promo et ils t’aideront, prises de notes au cours, informations off etc, tous ces éléments peuvent être decisisfis si c’est possible d’avoir un noyau de solidarité,
si t’es à la fac, pas besoin d’aller aux cours magistraux si ta mémoire marche au visuel, le temps gagné permet de focus sur les travaux dirigés. Faut juste que tu trouves quelqu’un qui a récup des notes propres, ce temps gagné est précieux,
il y a des taffs arrangeants pour les études : pion en internat, des trucs de nuit style gardiennage, même au sein de ta fac si il y a (piscine etc). La restauration universitaire peut aussi proposer des contrats qui démarrent tôt le matin,
le sommeil c’est bien,
la plupart des enseignants ont eux aussi galéré, donc si tu expliques ta situation tu pourras avoir moins de difficulté voir même un peu plus de souplesse
J’étudie à distance donc question contacts avec les autres c’est coton, le responsable pédagogique parlait de forums où on peut échanger mais je pense que personne n’y a encore envoyé de messages, je peux chercher des gens près de chez moi, il doit y en avoir.
J’aurais eu le luxe de reprendre des études en présentiel si j’avais démissionné mais je n’ai pas envie de dépendre de ma femme financièrement pendant minimum trois ans, peut-être beaucoup plus.
Mon travail pas trop question de le quitter pour des études en histoire, je refuse catégoriquement d’être professeur, c’est la recherche qui pourrait m’intéresser dans le futur mais sans être soumis au CNRS et à la rémunération ridicule à laquelle j’aurais droit avec eux. Même si je devenais maître de conférences je ne serais pas aussi bien payé que je le suis à l’heure avec mon métier actuel, qui me plaît : je conduis des trains de marchandise et avec 10 ans d’ancienneté et plusieurs réseaux, c’est au moins 50% de salaire net à l’heure en plus qu’un maître de conférences avec 0 ancienneté, ensuite impossible de rattraper avant l’âge de la sénilité. Seul inconvénient de la conduite de trains c’est que j’ai droit à aucune distraction donc écouter les cours enregistrés ou des livres audio, hors de question.
Le pire problème c’est mon temps libre niqué par des soucis personnels qui me déconcentrent, me prennent un temps dingue et deux procès dans deux pays, mais je ne veux pas lâcher pour ça.
Les enseignants sont compréhensifs sur la difficulté d’étudier à distance mais la majorité des étudiants de cette formation ce sont comme moi des gens qui travaillent à plein temps.
À distance en gros, faut tout apprendre tout seul, et y a un seul UE de TD…
Oui effectivement une fois qu’on est inséré socialement on a beaucoup plus d’exigences, de responsabilités ! La question du maintien des conditions de vie n’est pas à l’ordre du jour dans le cadre des reprises d’études, sauf quelques concours où tu as un maintien de traitement l’année de ta formation mais c’est plutôt rare et ça recrute à partir de bac + 3.
Si tu veux jpeux te faire un mini guide de survie d’étudiant qui taff.
Le premier conseil serait : ne pas lâcher l’affaire mais ne pas s’obstiner au détriment de sa santé mentale.
J’ai des imprévus personnels et familiaux qui n’aident pas, je ne jette pas l’éponge, de toute façon ce n’est pas une fortune à l’année. Tant que je valide au moins quelques crédits et que je ne suis pas totalement largué je suis content, je n’ai pas d’impératif sur le temps que les études me prendront au total.
Le guide de survie m’intéresse 😅
Alors les grandes lignes :
J’étudie à distance donc question contacts avec les autres c’est coton, le responsable pédagogique parlait de forums où on peut échanger mais je pense que personne n’y a encore envoyé de messages, je peux chercher des gens près de chez moi, il doit y en avoir.
J’aurais eu le luxe de reprendre des études en présentiel si j’avais démissionné mais je n’ai pas envie de dépendre de ma femme financièrement pendant minimum trois ans, peut-être beaucoup plus.
Mon travail pas trop question de le quitter pour des études en histoire, je refuse catégoriquement d’être professeur, c’est la recherche qui pourrait m’intéresser dans le futur mais sans être soumis au CNRS et à la rémunération ridicule à laquelle j’aurais droit avec eux. Même si je devenais maître de conférences je ne serais pas aussi bien payé que je le suis à l’heure avec mon métier actuel, qui me plaît : je conduis des trains de marchandise et avec 10 ans d’ancienneté et plusieurs réseaux, c’est au moins 50% de salaire net à l’heure en plus qu’un maître de conférences avec 0 ancienneté, ensuite impossible de rattraper avant l’âge de la sénilité. Seul inconvénient de la conduite de trains c’est que j’ai droit à aucune distraction donc écouter les cours enregistrés ou des livres audio, hors de question.
Le pire problème c’est mon temps libre niqué par des soucis personnels qui me déconcentrent, me prennent un temps dingue et deux procès dans deux pays, mais je ne veux pas lâcher pour ça.
Les enseignants sont compréhensifs sur la difficulté d’étudier à distance mais la majorité des étudiants de cette formation ce sont comme moi des gens qui travaillent à plein temps.
À distance en gros, faut tout apprendre tout seul, et y a un seul UE de TD…
Oui effectivement une fois qu’on est inséré socialement on a beaucoup plus d’exigences, de responsabilités ! La question du maintien des conditions de vie n’est pas à l’ordre du jour dans le cadre des reprises d’études, sauf quelques concours où tu as un maintien de traitement l’année de ta formation mais c’est plutôt rare et ça recrute à partir de bac + 3.