Eh ben celle-là, je l’ai pas vue arriver o_0;;
Une telle procédure doit cependant franchir plusieurs obstacles. Premier temps : convaincre Assemblée et Sénat de se constituer en « Haute cour ». Ce qui passe par une proposition de résolution qui doit être successivement validée par le Bureau de l’Assemblée (le NFP y dispose d’au moins 12 voix sur 22), puis adoptée en commission des Lois, et dans l’hémicycle à une majorité des deux tiers. Un parcours similaire doit ensuite être effectué au Sénat.
2/3 de l’Assemblée pourquoi pas. Mais avec un Sénat de droite c’est mort.
Si la situation actuelle dure, il n’y aura peut-être plus vraiment le choix, y compris à droite.
Il faut être réaliste, c’est impossible d’obtenir 2/3 du congrès à moins que le président ne se transforme soudainement en zombie. Il aura bien le temps de trouver un premier ministre de compromis accepté par 50% de l’Assemblée Nationale avant que cela n’arrive.
Le but est pas de destituer Macron, c’est de l’inciter à se bouger le cul et à rappeler que la situation est anormale, et qu’il l’a lui-même créée. Et accessoirement de donner l’impression que la gauche fait des choses.
Le Parisien met en avant Jean Luc Mélenchon, le personnage le plus clivant, dans la photo d’illustration et dans l’article.
Ça n’est pas le cas dans le texte original publié dans La Tribune qui montre et cite à la fois :
Jean-Luc Melenchon, co-président de l’institut La Boëtie et les politiciens LFI Manuel Bompard, Mathilde Panot
Ça risque (un peu) de se terminer en coup d’État de la police avec le RN cette macronerie…
On est repartis ! 😁